• Puisque vous venez me voir, je vous rendrai la visite prochainement.

    Entre amis, ce sont des choses qui se font.

    Préparez la chambre d'ami!

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  • Au lieu de dîner avec mes parents, je me suis disputée violemment avec ma mère au téléphone.

    Maintenant je pleure.

    Et j'en ai marre.


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  • La preuve chez Heaven.

    Alors... qui a un gage?

    C'est TOI!

    J'attends...


    38 commentaires
  • Du moins, je l'espère.

     

    Aujourd'hui, je l'ai snobé.

    Il est allé voir ailleurs si j'y étais.

    Les choses étant rentrées dans l'ordre, j'ai rattrapé mon boulot en retard.

    C'est fou le temps qu'on ne perd pas à ne pas expliquer ce qu'on fait !

    J'ai abattu un travail colossal.

    J'ai d'abord demandé à un juge de mettre en détention provisoire un type.

    Puis j'ai menacé un autre type de le traîner devant un Tribunal correctionnel s'il ne payait pas sous huit jours.

    J'en ai cité un troisième à comparaître pour du fric aussi.

    J'ai plaidé contre un confrère et l'ai empêché de déposer une pièce fondamentale pour son dossier.

    J'ai pris diverses écritures disant qu'un tel est un escroc, qu'un autre est un esclavagiste, et un troisième un usurier.

    Bref, j'ai craché sur tout le monde et j'ai adoré.

    Heureusement que la peine de mort a été abolie, sinon, avec l'énergie qui me restait, j'en aurais fait guillotiner deux ou trois.

     

    Une bonne journée, donc.

    Elle aurait été meilleure si j'avais encaissé des honoraires.

    Mais ce n'est que partie remise.

     




     

    Allez, avant que vous ne vous décomposiez devant tant de cruauté, j'étoffe mon propos.

     

    J'ai été méchante avec le bulot, certes, mais j'ai de bonnes raisons : j'ai assez enseigné dans ma vie pour n'avoir pas à me forcer à prendre sous mon aile un élève qui n'est pas le mien.

    Car après tout, ce n'est pas MON stagiaire, mais celui d'un confrère que j'ai décidé de mettre face à ses responsabilités.

    En l'occurrence, face à SON coton-tige.

    Qui, dégoûté d'obtenir à ses questions au mieux un « pas le temps ! », au pire un « groumpf », s'en est allé quérir du travail auprès de son véritable maître de stage, bien moins sympa que moi, mais aussi bien moins occupé.

    Ledit confrère a bien essayé de me recoller le crampon pour mon audience de 14 heures.

    Mais en entendant ma réponse (« impossible, Chambre du Conseil », qui signifie « interdit au public »), il a capitulé.

    Et tous les deux filent désormais le parfait amour. Il fallait juste qu'ils se rencontrent.

     

    Quant au premier type pour qui j'ai sollicité une détention provisoire, il s'agit du violeur d'une cliente qui s'entête à lui pourrir la vie malgré l'interdiction qu'il a d'entrer en contact avec elle. Il la menace des pires représailles si elle ne retire pas sa plainte. L'ayant envoyé à l'hôpital la semaine dernière, il a prouvé qu'il n'était pas prêt à respecter son contrôle judiciaire. Pour la survie de ma cliente, je me devais de l'envoyer à l'ombre.

     

    Le deuxième est un père défaillant qui, outre qu'il n'a pas payé la pension pour ses gosses depuis 1999, a vidé les comptes bancaires de son ex-femme en prétextant n'avoir pas divorcé, la laissant dans une misère noire. Je n'exclus pas d'engager la responsabilité de la banque.

     

    Le troisième est un abruti qui, non content d'avoir rendu une femme aveugle avec un tesson de bouteille, ne paie pas les dommages et intérêts ni les frais médicaux, prétextant n'avoir pas d'emploi. Et pour cause, ce type est millionnaire et n'a nul besoin de travailler. Il dépense son fric en boisson dans les clubs et agresse les filles qui le repoussent. Charmant, donc.

     

    Le confrère qui voulait déposer une pièce arguait qu'elle était hypranécessaire, quatre mois après la clôture de l'instruction, alors qu'elle est datée de l'année dernière. Tout ça pour faire durer encore la procédure et engranger, s'il gagne, ce que je me ferai un plaisir d'empêcher, des intérêts plus conséquents. Sans oublier de réclamer à ses clients des honoraires supplémentaires pour ces rebondissements, naturellement indépendants de sa volonté. Limite malhonnête.

     

    L'escroc est un homme qui compte faire payer à une femme une somme qu'elle lui a déjà payée en espèces sans demander de reçu, alors même qu'elle ne la lui devait pas.

     

    L'esclavagiste a fait travailler mon client deux ans sans le payer au moins le SMIC et en le faisant dormir dans un placard à balais (littéralement) qu'il nommait logement de fonction. Bon, le client est truffe, mais quand même...

     

    L'usurier, arf... je vous passe les détails, le terme parle de lui-même.

     

    Quant à mon regret de n'avoir pas encaissé d'honoraires, il est très légitime si l'on considère que je travaille presque gratuitement lorsque les clients sont indigents. Et que j'ai dû « acheter » de l'argent pour payer mon URSSAF.

     

     

    Vous voyez bien que je ne suis pas si méchante.

    Je défends la veuve et l'orphelin en somme.

     

     

     

    Au moins une fois par mois.

    (rire sardonique)





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