• J'ai un frère. Format armoire normande. Champion de natation.

    Bien qu'il soit mon puîné, il a toujours eu une force suffisante pour lutter contre moi (jusqu'à ce que j'y risque ma vie...)

    Et j'adore lutter, à l'ancienne.

    C'est inutile, mais tellement drôle.

    Je me débrouille plutôt bien, d'ailleurs.

    L'Amour a remplacé mon frère. Autre format, mais force semblable.

    Des années que j'essaie de décrocher le titre de "patron".

    J'avais presque réussi hier. Jusqu'à ce que j'entende "crac" dans mon dos.

    Aujourd'hui, je suis engourdie de douleur.

    Ceci est donc une annonce officielle : c'est toi le patron, par forfait sur blessure.

    Je ne lutterai plus.

    J'ai trop mal.

    Et je ne blogguerai pas aujourd'hui : je dois me faire soigner.

    Bonne journée.


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  • Samedi dernier, rugby oblige, de nombreux Ecossais en kilt avaient envahi Paris.

    J'adore le kilt.

    Sur les hommes.

    Je pense que la jupe va mieux à l'homme qu'à la femme.

    En outre cette configuration me semble plus logique.

    En effet, d'une part les hommes ont généralement de plus belles jambes que les femmes.

    Elles sont souvent plus longues et mieux dessinées, et souffrent moins de varices et autres joyeusetés que les cycles féminins engendrent.

    D'autre part, d'un strict point de vue géométrique, il est logique que la femme porte un pantalon, la couture ne gênant rien, et l'homme une jupe, qui lui permet ainsi de n'avoir pas à choisir de porter la bourse à droite ou passer l'arme à gauche.

    Enfin, ça m'amuse d'inverser les codes.

    Je suis donc pour la jupe pour hommes.

    Ca me rappelle d'ailleurs une soirée où j'avais échoué avec des amis dans une boîte de nuit au fin fond du Centre de la France.

    Faute d'avoir de bonnes adresses dans cette région, nous étions sortis un peu au hasard, jusqu'à trouver LE club du coin : techno, stroboscopes et jolies nanas à la pelle (je ne dis pas ça parce qu'on était à la campagne).

    Nous étions sciés (idem).

    Toutes les filles mesuraient 1,80 m et avaient des nichons tels que j'en aurais bien piqué un pour m'en faire deux.

    Wonderwomen.

    De la blonde, en veux-tu, en voilà.

    Mais pire : toutes lesbiennes.

    Elles se roulaient des pelles à qui mieux mieux (je ne dis toujours pas ça parce qu'on était à la campagne), et mes amis mâles bavaient devant les salives qui se mélangeaint.

    Leur plus beau fantasme se réalisait enfin.

    Nous étions tombés dans le club lesbien du coin (-coin. Campagne oblige).

    L'un de mes amis tomba amoureux d'une des demoiselles.

    Il se mit en chasse.

    Contre toute attente, le poisson se laissa ferrer (je sais, bizarre, cette chasse).

    La dinde, qui n'était pas une oie blanche, proposa même que sa morue de copine l'accompagne.

    Bref, le rêve.

    Je regardais ça de loin, et je me marrais.

    Parce que je savais.

    Je savais que le lendemain au petit-déjeuner mon ami ne serait pas fier.

    Je savais qu'il supporterait difficilement qu'on lui demande comment se serait passé sa nuit.

    Je savais qu'il ne voudrait plus entendre parler des loooooongues jambes de la blonde, et de celles, vertigineuses ,de sa copine.

    Parce que moi, je suis une fille.

    Et qu'il n'y a que les garçons pour confondre les jambes des travestis et celles des filles.

    Et que la boîte n'était pas un club lesbien.

    Mais un club homo.

    Pour messieurs.

    Avouez, chers lecteurs : ça vous est déjà arrivé.

    Non?


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  • ou à la demande de Tschok, plutôt.


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  • Journée harassante pour l'Amour : arrivé au boulot à 10h, rien foutu jusqu'à 13, déjeuné jusqu'à 14, passé me voir de 14h30 à 15h30, revenu au bureau à 16, rien foutu jusqu'à 18, heure à laquelle il a fait soif.

    Donc parti avec ses collègues pour un apéro de cadres en goguette.

    Rentré dudit apéritif à 21h15.

    Fatigué, le chéri.

    Et paf.

    Entendu en moins de 5 minutes :

    - Je ne suis pas paf, je suis con.(ndlr : arf, si tu le dis...)

    - On est vraiment télépathes tous les deux. Mais seulement quand je suis bourré, c'est bizarre... Finalement, je te surestime peut-être un peu... (ndlr : merci Mon Amour, moi aussi je t'aime...)

    Pas toujours facile d'être le repos du guerrier.

    Surtout quand il a oublié d'aller à la chasse.

    Parce que je suis sure que dans 5 minutes, il va me demander en plus ce qu'on mange...

    Ah tiens, non: il propose un restaurant...

    Il est mignon quand même...


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  • est parfois un peu collant, mais j'aime ça.

    Encore!


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