• Blog en vue (2 expositions sur page d'accueil) offre place dans son blogroll à qui lui prouvera qu'il la mérite.

    Offre sérieuse et limitée.

    Blogueurs désireux de monter dans le classement, ne pas s'abstenir.




    Ben oui, je suis fatiguée d'essayer de rattraper mes mois de retard dans vos publications, amitiés naissantes, guéguerres et autres activités de joyeux cyberdrilles.

    Et j'en ai assez de mon blogroll qui renvoie pour l'essentiel à des morts (virtuels s'entend. Enfin, j'espère).



    J'ai donc décidé de faire d'une pierre deux coups : je remets mon blogroll à jour grâce à vous qui me direz qui lire, et pourquoi de préférence.



    De cette manière, lorsque je serai bien à jour du qui est qui, qui aime qui, qui déteste qui, je ne passerai pas pour une tanche quand, prenant un air de conspirateur qui a tout compris à la vie, je vous dirai : "Mais le Schti, c'est une fille!".



    C'est parti : faites vos offres!






    By the way...

    J'ai cru mourir de rire en lisant chez certains l'appellation sous laquelle ils me font apparaître...

    Couveuse était très bon.

    Mais périmé maintenant.


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  • Juste pour voir s'il y a désormais une censure des titres des posts en page d'accueil.

    Merci de laisser un commentaire pour que ce post s'insère dans la liste des posts les plus commentés et donc mener à bien cette expérience.





    73 commentaires
  • Plus je lis le blog de Mick, accompagné de sa Légende, plus je m'interroge sur l'adolescence.

    Je trouve ces deux petits vraiments très fins.

    Et je me demande si les ados d'aujourd'hui ne sont pas plus vieux que ceux que nous étions, nous trentenaires, ou ceux que vous étiez, vous d'une autre génération que la mienne.

    Et moins choqués par nos travers que nous pouvions l'être. J'en veux pour preuve mon harnais qui ne les étonne ni ne les émoustille, alors que mes camarades de classe n'auraient pas eu leur bac tant ils auraient été perturbés de savoir qu'un tel accessoire existait.

    Je ne sais que penser de l'ado d'aujourd'hui, si ce n'est qu'il est différent de ce que j'étais. Plus malin.

    Non pas que j'étais idiote, et même je crois que j'étais bien plus cultivée et réactive au lycée qu'aujourd'hui, mais mon monde se résumait bien souvent à mon nombril et quelques grandes idées humanistes.

    Alors que j'ai l'impression que le jeune d'aujourd'hui est tout entier tourné vers la société, mondiale, mais dans une conception noire d'icelle, où aucune amélioration n'est envisageable, donc sans passion et sans élan combatif.

    Par exemple, l'ado de ma génération, lorsqu'il s'enflammait pour une cause, se regroupait avec ses co-ados pour combattre cette putain de société d'adultes, ces cons capitalistes.

    Aujourd'hui, l'ado se regroupe en bande pour se foutre sur la gueule avec une autre bande d'ados dissemblables (ou le croit-il).

    Ou il se fout de tout, et ne dit même pas merde à ses parents, parce qu'il compte bien mettre les pieds sous la table de Maman pendant encore 15 ans.

    De la même manière, je suis frappée de la facilité avec laquelle l'ado parle à des congénères de tous âges.

    Alors que ma génération pensait que le dialogue était impossible avec les vieux (ceux qui avaient au moins 20 ans...).

    Bref, une pensée décousue, je vous l'accorde.

    Mais très interrogative.

    Les ados d'aujourd'hui sont-ils de purs produits d'une société de communication, comme j'étais un pur produit d'une société de consommation?

    Et vous, quel ado étiez-vous?


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  • Toi l'ami qu'on dit virtuel,

    Pour moi tu es bien réel,

    Et même si parfois on ne peut qu'échanger des mails,

    J'espère toujours te voir IRL,

    Parce que je ne suis pas de celles

    Qui méprisent le plaisir de passer telle

    Soirée avec ceux et celles

    A qui je jure ici être fidèle.

    Et même si ces moments ne peuvent être éternels

    Ils ont pour moi d'autant plus de sel

    Que je peux ce matin contempler la preuve bien réelle

    D'une soirée qui fut très belle.

    Bref.

    En prose ça donnerait : merci d'être vous, merci d'être ici, merci d'être là parfois.


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  • Bloggueurs, je vous aime !

    Souvent en silence, parfois de travers, toujours trop.

     

    Le blog est réellement un journal intime : à chaque nouvelle qu'il me donne de vous, j'entre un peu plus dans votre intimité.

    Et je vous en remercie.

     

    Je vous aime tous et chacun.

    Même ceux que je crois ne pas aimer.

     

    Et chacun pour une raison propre.

     

    Par exemple... (Dans le désordre, rassurez-vous)

     

    J'aime Danthy parce que son blog est une fenêtre sur ses états d'âme, sans autre prétention que de ponctuer ses humeurs (et en ce moment il est d'humeur absente) et pour sa loyauté, tant envers lui-même, ses goûts et ses dégoûts, qu'envers nous. Et surtout parce que cette sensibilité ne masque qu'à peine l'humour décapant et l'espièglerie qui l'animent. Je l'aime parce qu'il est lui.

     

    J'aime Mick parce qu'il a seize ans, ou plutôt parce qu'il EST seize ans : il a la vivacité de l'adolescence, la brillance d'une intelligence pas encore bridée, la générosité du djeunz qui invite son copain, et la créativité drôle de ceux qui savent rire de cette chienne de vie, qui fait parfois mal. Je l'aime, cet insolent, parce qu'il est un peu ce que je serais encore si je n'avais trente ans et le sérieux qui va parfois avec.

     

    J'aime Dulcineia pour son talent, sa poésie et le calme voyage qu'elle m'offre chaque jour. Et parce que quelqu'un qui aime autant les arbres est forcément gentil. Je l'aime aussi pour le courage qu'elle a montré dans sa vie, et qui ne se devine qu'à force de patience et d'attention à ses commentaires. Je l'aime parce qu'elle est une survivante qui n'en veut pas à la vie.

     

    J'aime Heaven pour sa fragilité de femme forte : à travers ses posts girly, elle laisse passer la faille de celle à qui son pays manque. Lorsqu'elle parle de son sac, elle évoque malgré elle la couture, donc Paris, donc la France, et me vient l'irrépressible envie de lui envoyer un billet retour. Je l'aime aussi pour son intransigeance : elle a choisi le mieux et combat la médiocrité à chaque instant.

     

    J'aime Tschok parce qu'il est si peu con qu'il en est parfois abscons, parce qu'il trouve toujours l'absurde dans tout, cet absurde qui me fait pouffer seule devant mon écran et qui a le don de dédramatiser la vie, parce que la bonne humeur est un art de vivre pour lui, alors qu'il pourrait aisément choisir d'être un génie torturé.

     

    J'aime Little pour le temps qu'elle a perdu et celui qu'elle rattrape, pour son infidélité qui n'est finalement qu'une fidélité à elle-même retrouvée, parce qu'elle a bien le droit d'être égoïste après avoir été si parfaite en vain. Lorsqu'elle nous parle de ses coups, elle ne fait finalement que les rendre, sans pourtant blesser qui que ce soit. Je l'aime aussi parce qu'elle aime, et que mon cœur se serre lorsque transparaît derrière sa bonne humeur le drame de celle qui est amputée d'une partie de son bonheur.

     

    J'aime Fil parce que si son blog montre une partie de lui, ses commentaires montrent l'autre : curieux de tout, il peut rire et débattre en un même trait de temps, se montrant d'une fidélité absolue à ceux qu'il chérit et à ses opinions.

     

    J'aime Angy pour ses errances, pour sa manière empirique de rendre à la vie les baffes qu'elles a reçues, et pour la gentillesse dont elle ne se dépare jamais, bien qu'elle ait plus de raisons de quiconque d'haïr autrui. Je l'aime pour ses faiblesses et le petit coup de pied qu'elle donne inévitablement lorsqu'elle atteint le fond, nous faisant rebondir avec elle dans de nouvelles aventures.

     

    J'aime NaB pour sa tentative de nous faire réfléchir, et parce que finalement, il s'en fout qu'on le suive ou pas : l'important pour lui est de réfléchir à autre chose maintenant, pas de s'arrêter sur ce qui coince.

     

    J'aime faire un tour à Babaland, mais je ne sais pas pourquoi. Peut-être pour les talents de Baba qui sait regarder et capter le monde comme personne. Peut-être aussi parce que qu'il y ait du monde ou pas chez elle, elle continue son œuvre, remaniant sans cesse son blog, changeant sa photo, changeant sa déco, au point que j'ai toujours un moment d'absence quand j'arrive chez elle, me demandant si j'ai bien fait d'appuyer sur F5.

     

    J'aime Charmeur pour son perpétuel décalage par rapport à ce qui se passe ici, incorrigible rêveur trop gentil et amoureux.

     

    J'aime Khalya pour sa rage, et les moments de décompression qu'elle affiche, mais dont elle se relève toujours, et parce que chaque fois que je la lis, je me demande pourquoi aucun mec d'ici ne lui a encore proposé le mariage : c'est mon feuilleton à moi, sauf que je ne vois pas poindre le bout du museau du canasson du Prince Charmant et que je trouve que le scénariste de sa vie se perd en longueurs : trop de suspense tue le suspense.

     

    J'aime Barzoukid pour sa folie, même si je lui en veux de nous ressortir de vieux trucs (mais c'est toujours mieux que quand il avait disparu) et d'avoir changé le titre de son blog.

     

    J'aime Ittou parce qu'il est comme un miroir grossissant de nos travers et bons moments, et que je ne peux m'empêcher de rester sur ma faim quand je le lis : mais qui est cet observateur qui se promène le long de nos routes ?

     

    J'aime aussi Maîtresse qui aime trop en ce moment pour nous aimer encore, mais j'aime qu'elle aime.

     

    J'aime Natou pour sa maîtrise de l'informatique qui me bluffe chaque fois un peu plus, moi la nulle, et pour ce réveillon ubuesque qui m'a valu l'un de mes plus gros fous rires de Bloggland.

     

    J'aime Dame Claudia qui ne se prend pas pour un homme parce qu'il ne sait pas encore qu'il n'est plus un adolescent.

     

    J'aime Sélène, même si je n'aimais pas son univers, pour cet art suranné de la poésie, et pour sa sollicitude sans borne à notre égard.

     

    Et puis tant d'autres, mais présentement je les oublie, même si lorsque je fais ma ronde de lecture je pense toujours à eux.

     

    Il y a aussi ceux qui ne savent pas que je les aime :

     

    Nicolas pour sa sensibilité,

    Louisebe pour son style subtilo-comique,

    Wolfy pour son œuvre quotidienne et le réconfort qu'il apporte toujours dans ses commentaires,

    Louise pour sa pétillance,

    Les Pestouilles pour  ce je ne sais quoi de soirées-entre-copines-et-vacances-à-la-plage-avec-des-tongs qu'elles m'inspirent,

    Tim pour sa vie de jeune urbaine célibataire,

    Hugo74 pour sa vie rêvée des anges,

    Ceux de ma galaxie que je ne connais pas et que je vais parfois visiter pour essayer de comprendre pourquoi ils m'ont choisie,

    Les jeunes cons et leurs blogs débilitants,

    Et les autres,

    Ceux que j'oublie encore,

    Et ceux chez qui j'ai lu un truc qui m'a plu, mais dont j'ai oublié le nom et dont je ne retrouve jamais le blog,

    Et les nouveaux que j'ai embêtés,

    Et ceux que j'ai laissés.

     

    Ça fait du monde.

    Trop de monde.

    Ce monde envahit l'autre, et même si je ne vous connais pas, je vous emmène partout avec moi.

     

    Ça me bouffe du temps et de l'énergie.

    Alors que je n'en ai plus à revendre.

     

    C'est pourquoi je boude.

    Je vous en veux.

     

    Parce que j'attends beaucoup de vous.

     

    J'ai passé une semaine merdique à Bloggland ces derniers jours, alors qu'y venir était mon plaisir quotidien.

    Je me suis ennuyée ferme.

    Je me suis lassée.

     

    Pour tout vous dire, lire vos ébats ne m'amuse pas.

    Non pas que je sois anti-sexe (et d'ailleurs mon ventre prouve chaque jour un peu plus que je pratique un peu moi-même...arf, c'est humiliant...), mais plutôt que je sois anti-que-du-sexe.

     

    Je n'éprouve aucune gêne à lire les histoires d'Angy, Tim, Little ou Khalya, parce qu'elles parlent aussi d'autre chose.

    Parce que ce sont des moments de vie, des moments d'envies, et non toutes leurs vies, ou toutes leurs envies.

     

    Je n'ai aucun problème à voir le Q de Caliban, ou les seins de Maîtresse, et même, j'aime ça. Parce qu'ainsi ils me prouvent qu'ils me font assez confiance pour s'offrir à moi dans leur crudité.

     

    Je n'ai rien contre une blague ou deux là-dessus, voire un post.

     

    Non, rien.

     

    Ce qui me hérisse le poil, c'est le post super-sexe-avec-ça-j'te-fais-une-audience-vie-d'ma-mère-t'as-jamais-vu-ça.

    Le truc gratuit, sans intérêt, qui tombe comme un poil de cul sur la soupe, là où j'aurais aimé savoir mieux qui vous êtes plus que ce que vous faites ou rêvez de faire.

    Le truc racoleur de celui, généralement celle, qui n'a rien d'autre à dire mais rêve de reconnaissance.

    Le truc d'ado qui se vante en somme, alors que franchement, il vaut mieux que ça.

    Je l'avoue, je ne lis pas les posts « hots », ni les expériences SM, ni les commentaires qu'ils entraînent inévitablement.

     

    Je sais mieux que quiconque le pouvoir du sexe sur le net : avec un pseudo qui rappelle une boîte échangiste, ce que je ne savais pas lorsque je l'ai choisi il y de nombreuses années, je m'assure malgré moi une fréquentation que des fâcheux m'envient.

     

    Et avec une photo de mon harnais, que je publie par pur égoïsme, toute ravie que je suis de me découvrir si belle en ce miroir déformant du net, je reçois plus de messages qu'avec un post sur les dysfonctionnements de la justice.

     

    Bwouf.

    Ainsi va le monde.

    Chacun fait comme il lui plaît.

    Mais je veux croire que ceux qui ont un peu d'affection pour moi l'ont ressentie à force de lire mes humeurs et non à mirer mon Q.

    Je me trompe peut-être.

    Mais moi, c'est comme ça que je fais.

     

    Continuez : racolez.

    Je ne suis personne pour vous indiquer la marche à suivre.

    Je ne suis qu'une de vos lectrices qui baille de plus en plus.

     

    Quand certains se lâchent, je me lasse.

    Et je me casse.

     

     

     


    Arf, je m'aperçois que j'ai vraiment oublié beaucoup de monde : Miss Aubade et son tendre romantisme, par exemple...

    Pardon, mille pardons.





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