• Condoleeza Rice a un surnom : Condi.

    Ce n'est pas logique.

    Tout le monde sait que l'abréviation correcte est condom.


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  • Arf.
    Puisque la grève et les travestis ne vous inspirent aucune réflexion, je vais vous parler de mon zizi.
     
    Mon zizi est né le 27 octobre 2004.
    Mais comme je ne suis pas un homme, je n’y ai pas prêté plus d’attention que ça (il n’y a que les hommes pour croire que leur zizi soit la plus belle chose qu’ils possèdent).
     
    Vexé le zizi.
    Tout rabougri.
     
    Le 31 décembre, il tentait, dans un dernier effort pour que je l’aime, d’attirer mon attention.
     
    A quelques minutes d’intervalle, il me laissait trois commentaires, de vulgarité croissante (le zizi est rarement loin du pipi-caca…) :
    - à 12h15mn13s : « c’est un pote de spiderman ? »,
    - à 12h19mn04s : « folle a part de toi meme je vois pas »,
    - à 12h24mn47s : « Ah , celui ci c'est ton meilleur post ... et de loin !!! C'est sans doute parceque rien n'est de toi ! Allez , je vais voir ailleur car ton blogg est quelque peu odorant ... ».
     
    Moment d’absence.
    Je n’avais donc pas vu ce début d’érection.
    Heureusement parce que je suis rigide sur l’orthographe (ça en fait au moins un de nous deux qui ne soit pas mou…).
     
    Blessure narcissique du zizi : s’il y a bien une chose que les zizis ne supportent pas, c’est que les filles ne s’y intéressent pas.
     
    Il rumine sa vengeance.
    A 15 heures 45, il déclenche les hostilités : il s’en prend à mon Q.
     
    Pauvre zizi… Son subconscient le submerge.
    Alors qu’il croit me faire mal, il ne fait qu’exprimer sa faiblesse de pénis incompris, qui voudrait qu’on le sente.
    Je l’oublie comme mon premier suppositoire.
    Trop petit.
     
    Il tente quelques temps de se mesurer à moi en d’autres lieux.
    Mais je ne suis pas venue chercher de rapports sexuels en Bloggland.
    Je l’ignore derechef.
     
    Le 6 janvier, n’y tenant plus, il se découvre.
    Il me laisse le message suivant : « C'est du ........ NON!!!!!! SI !!!!!! J'ai dis non ,ca ce fait pas !!!! Mais , elle le merite !!! OUI, t'as raison , vas y ! Eh ben cleo , c'est KAKABOUDIN!!! T'es dur ! Oui , mais c'est merite ! ».
     
    Même décalotté, il n’est pas bien grand, mon zizi.
     
    Le 13 janvier, il tente de se détacher de moi.
    Hélas pour lui, dans sa quête d’indépendance et de reconnaissance, son inconscient prend le pouvoir : son second cri est pour moi.
     
    Bof.
    Mon zizi est si inintéressant, que je préfère le tête-à-tête avec celui de mon chéri.
     
    Quelques jours plus tard, de retour en ces lieux, je découvre que mon zizi est devenu fou.
    Il me cherche et ne me trouve plus.
    Désespérément en quête de contact, il lâche ses spermatozoïdes dans l’espace virtuel, croyant ainsi recréer une galaxie.
    Hélas pour lui, elle est vide.
    Et il reste à des millions d’années-lumière de moi.
    Dans le Blog Pop.
     
    Il n’y a pas que le sexe dans la vie.
    Il y a aussi le boulot.
    Et de ce côté, je suis mieux servie que du côté de mon zizi : bien plus prenant…
     
    Je ne consacre que peu de temps à Bloggland.
    Mais tout de même suffisamment pour découvrir le Blog Géo.
     
    Intéressante cette nouvelle option.
    On apprend par exemple que 28 blogueurs sont sis en Thaïlande.
     
    Pendant ce temps, mon zizi vit sa vie (notez le jeu de mots…).
    Du moins, je le croyais.
     
    Profitant de mon absence, le cornichon s’est fait passer pour moi.
     
    Et c’est là que je pousse un cri : aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
     
    M’enfin zizi ! Je suis une fille !
    Je ne peux pas avoir de zizi.
    Va voir ailleurs si j’y suis !
     
     
    Tout ça pour vous exposer un petit problème de logique :
     
    Qui écrit sans accents parce que son clavier thaïlandais n’en comporte pas, s’est créé plusieurs blogs pour apparaître dans le Blog pop, tous depuis la Thaïlande et tous aussi vides que l’univers lorsque celui à qui il a emprunté son pseudo premier l’a créé, et est assez mégalomane et schizophrène, autant qu’infantile, pour, alors qu’il est déjà un homme d’un âge avancé, se comporter en gamin idiot et se venger de mon indifférence en me polluant de ses commentaires vulgaires dès qu’il ne sait plus quoi me dire ?
    Hum, qui ?
     
    NB : des indices se sont cachés dans la question. Saurez-vous les retrouver ?
     

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  • Samedi dernier, rugby oblige, de nombreux Ecossais en kilt avaient envahi Paris.

    J'adore le kilt.

    Sur les hommes.

    Je pense que la jupe va mieux à l'homme qu'à la femme.

    En outre cette configuration me semble plus logique.

    En effet, d'une part les hommes ont généralement de plus belles jambes que les femmes.

    Elles sont souvent plus longues et mieux dessinées, et souffrent moins de varices et autres joyeusetés que les cycles féminins engendrent.

    D'autre part, d'un strict point de vue géométrique, il est logique que la femme porte un pantalon, la couture ne gênant rien, et l'homme une jupe, qui lui permet ainsi de n'avoir pas à choisir de porter la bourse à droite ou passer l'arme à gauche.

    Enfin, ça m'amuse d'inverser les codes.

    Je suis donc pour la jupe pour hommes.

    Ca me rappelle d'ailleurs une soirée où j'avais échoué avec des amis dans une boîte de nuit au fin fond du Centre de la France.

    Faute d'avoir de bonnes adresses dans cette région, nous étions sortis un peu au hasard, jusqu'à trouver LE club du coin : techno, stroboscopes et jolies nanas à la pelle (je ne dis pas ça parce qu'on était à la campagne).

    Nous étions sciés (idem).

    Toutes les filles mesuraient 1,80 m et avaient des nichons tels que j'en aurais bien piqué un pour m'en faire deux.

    Wonderwomen.

    De la blonde, en veux-tu, en voilà.

    Mais pire : toutes lesbiennes.

    Elles se roulaient des pelles à qui mieux mieux (je ne dis toujours pas ça parce qu'on était à la campagne), et mes amis mâles bavaient devant les salives qui se mélangeaint.

    Leur plus beau fantasme se réalisait enfin.

    Nous étions tombés dans le club lesbien du coin (-coin. Campagne oblige).

    L'un de mes amis tomba amoureux d'une des demoiselles.

    Il se mit en chasse.

    Contre toute attente, le poisson se laissa ferrer (je sais, bizarre, cette chasse).

    La dinde, qui n'était pas une oie blanche, proposa même que sa morue de copine l'accompagne.

    Bref, le rêve.

    Je regardais ça de loin, et je me marrais.

    Parce que je savais.

    Je savais que le lendemain au petit-déjeuner mon ami ne serait pas fier.

    Je savais qu'il supporterait difficilement qu'on lui demande comment se serait passé sa nuit.

    Je savais qu'il ne voudrait plus entendre parler des loooooongues jambes de la blonde, et de celles, vertigineuses ,de sa copine.

    Parce que moi, je suis une fille.

    Et qu'il n'y a que les garçons pour confondre les jambes des travestis et celles des filles.

    Et que la boîte n'était pas un club lesbien.

    Mais un club homo.

    Pour messieurs.

    Avouez, chers lecteurs : ça vous est déjà arrivé.

    Non?


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  • ou à la demande de Tschok, plutôt.


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  • J'ai noté qu'hier quelqu'un avait répondu en mon nom aux commentaires laissés sous le post précédent.

    Le clavier de cette personne ne comporte pas d'accents.

    Intox, donc.

    J'ose espérer qu'elle ne s'est pas fait passer pour moi chez d'autres.

    Méfiez-vous...

    Et sachez qu'il est facile de savoir si je suis présente ou pas : désormais, je poste avant de commenter.

    Bonne nuit.


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