• Pour ceux qui ne seraient pas encore in the mood, je conseille l'étude de ce texte profond - une philosophie- remarquablement interprété en son temps pas Dalida, et heureusement repris aujourd'hui par la Star Ac :

    Laissez-moi danser

    Moi, je vis d'amour et de danse
    Je vis comme si j'étais en vacances
    Je vis comme si j'étais éternelle
    Comme si les nouvelles étaient sans problèmes
    Moi, je vis d'amour et de rire
    Je vis comme si y avait rien à dire
    J'ai tout le temps d'écrire mes mémoires
    D'écrire mon histoire à l'encre bleue
    Laissez-moi danser laissez-moi
    Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
    Laissez-moi danser laissez-moi
    Aller jusqu'au bout du rêve

    Moi, je vis d'amour et de risque
    Quand ça n'va pas je tourne le disque
    Je vais, je viens j'ai appris à vivre
    Comme si j'étais libre et en équilibre
    Moi, je vis d'amour et de rire
    Je vis comme si y avait rien à dire
    J'ai tout le temps d'écrire mes mémoires
    D'écrire mon histoire à l'encre bleue
    Laissez-moi danser laissez-moi
    Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
    Laissez-moi danser laissez-moi
    Aller jusqu'au bout du rêve
    Laissez-moi danser laissez-moi
    Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
    Laissez-moi danser laissez-moi
    Aller jusqu'au bout du rêve

    Pour les autres, puisqu'ils sont déjà d'humeur joyeuse, je leur conseille de continuer comme ça.

    Ca va mieux?

    Bien.

    Un peu de légèreté ne nuit pas.

    Aux innocents les mains pleines.

    En cette matière, je plaide coupable.


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  • Enfin lundi!

    Personne n'est encore arrivé, mais la promesse de vous retrouver m'emplit de joie.

    Je me console de votre absence en vérifiant mes mots-clés, et -ô divine surprise- quatre nouveaux sont apparus en mon absence : "douche", "jeunes", "agence de voyage" et "les seins faux".

    Tout un programme!

    Pourvu que ce soit prémonitoire...

    Je décide alors de créer une nouvelle sorte de voyance : je lis désormais mon avenir dans mes mots-clés.

    Les quatre derniers sont en effet prometteurs.

    Je me prédis donc une douche avec des jeunes, suivie d'un voyage d'où je reviendrai avec des faux seins.

    J'adore!

    A moins que ce ne soit un voyage avec des jeunes qui se douchent les faux seins.

    Ou un voyage dans une douche qui rend jeune et donne des seins faux.

    Marquise, d'amour vos beaux yeux mourir me font...

    Je ne suis pas encore au point en interprétation, mais je sens que l'avenir s'annonce hilarant.

    C'est toujours mieux que "paire de gifles" et "call-girl 30 ans".


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  • Allez, cette fois-ci j'y vais.

    Mais comment vivre trois jours sans ce cadavre exquis, là, à gauche de la page d'accueil?


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  • En route pour le Kolariks Himmelreich, Restaurant-Biergarten, à Vienne.

    Classe pour un premier rendez-vous...

    Mais bon.

    Je reviendrai lundi.

    Si vous voyez Tschok entre-temps, c'est qu'il m'aura posé un lapin.

    Tirez-en les conséquences qui s'imposent.

    Bon week-end.


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  • Amis de la poésie, bonjour.

    Aujourd'hui : Verlaine.

    J'ai mes raisons.

    Donc :

    Art poétique

    De la musique avant toute chose,
    Et pour cela préfère l'Impair
    Plus vague et plus soluble dans l'air,
    Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

    Il faut aussi que tu n'ailles point
    Choisir tes mots sans quelque méprise :
    Rien de plus cher que la chanson grise
    Où l'Indécis au Précis se joint.

    C'est des beaux yeux derrière des voiles,
    C'est le grand jour tremblant de midi,
    C'est, par un ciel d'automne attiédi,
    Le bleu fouillis des claires étoiles !

    Car nous voulons la Nuance encor,
    Pas la Couleur, rien que la nuance !
    Oh ! la nuance seule fiance
    Le rêve au rêve et la flûte au cor !

    Fuis du plus loin la Pointe assassine,
    L'Esprit cruel et le Rire impur,
    Qui font pleurer les yeux de l'Azur,
    Et tout cet ail de basse cuisine !

    Prends l'éloquence et tords-lui son cou !
    Tu feras bien, en train d'énergie,
    De rendre un peu la Rime assagie.
    Si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où ?

    O qui dira les torts de la Rime ?
    Quel enfant sourd ou quel nègre fou
    Nous a forgé ce bijou d'un sou
    Qui sonne creux et faux sous la lime ?

    De la musique encore et toujours !
    Que ton vers soit la chose envolée
    Qu'on sent qui fuit d'une âme en allée
    Vers d'autres cieux à d'autres amours.


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