Aujourd'hui, je ne suis pas d'accord.

Avec rien.

Je suis contre tout.

Plutôt que d'être tout contre, comme d'habitude.

Donc : non.

Ah la bonne heure!

Je me mets au niveau des bloggueurs de 17h...

I z'éteindront la lumière en partant, les jeunes, parce que moi, je vais me coucher?!

Les mots-clés ne changent pas.

Je vais faire plus intello.

Pas facile.

Paire de gifles.

Fessée.

Fouet.

Cravache.

Pinces à seins.

Torture.

Actes de barbarie.

Famine.

Guerre.

Misère.

Bêtise.

Peste.

Choléra.

Varicelle.

Asthénie.

Quotidien.

Routine.

Métro, boulot, dodo.

Travail, famille, patrie.

Amour, gloire et beauté.

Sex, drugs and rock n roll.

Sea sex and sun.

La guerre des étoiles.

Trilogies en tous genres.

Vernis à ongles qui ne tient pas.

Frédérick Gersal.

Jogging.

Cuisine.

Voilà.

Avec cet inventaire à la Prévert des emmerdements, j'espère avoir d'autres mots-clés dans mes statistiques que "cleo", "call-girl" et toutes les combinaisons qu'on peut faire avec.

Et je comprends enfin pourquoi j'ai "paire de gifles".

Mauvaise humeur.

Je repasserai vérifier dans une heure que ça fonctionne.

Aïe!

Télé utilisée comme réveil = entorse de l'oeil de bon matin.

Télématin 8h25, je soulève une paupière et, diable!, qu'est-ce que je m'aperçois-je? Frédérick Gersal porte un noeud papillon (comme chaque jour) rouge (aïe) à pois blancs (re-aïe)!

Déjà le noeud papillon, en 2004, c'est audacieux.

A 8h25, c'est périlleux.

Mais rouge à pois blanc, c'est carrément dangereux!

Mais efficace : obligée de sortir de mon lit pour éteindre la télé.

Mauvaise humeur maintenant, mais bon, l'essentiel était de se lever.

C'est fait.