• Moi aussi gne veux faire ma Sylvie Vartan!

    Moi aussi gne veux annoncer mon départ, et qu'on vienne s'outrer ci-dessous.

    Moi aussi gne veux laisser tomber ceux qui m'aiment bien en lançant des phrases creuses du genre "la vraie vie est ailleurs", "gne suis plus la même", "ne me retenez pas, je ne reviendrai pas".

    Moi aussi gne veux partir et revenir, et faire des entrées et sorties de stars.

    M'énervent ces faux-departs.

    On devrait les sanctionner.

    Où est l'arbitre?

    Que ceux qui annoncent qu'ils quittent le blog aujourd'hui s'y tiennent, comme Danthy et Dulci.

    Comme ça, je saurai pourquoi mon coeur se brise.





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  • Dans le grand cirque du blog, je suis Mademoiselle Loyale.

    D'après un des clowns du blog, le mien montre "une image assez fidèle de ce que je suis en réalité".

    Merci, je n'en attendais pas moins.

    Je ne souhaitais en effet pas assurer le spectacle transformiste.

    Voilà qui répond à une question souvent posée ici : sommes-nous tels que nous sommes ou tels que nous voudrions être.

    Et vous, z'êtes qui dans ce cirque?

    Franchement...


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  • Très mal dormi, cette nuit.

    Et trop peu.

    Sans doute est-ce pourquoi je ne comprends rien à ce qui se passe aujourd'hui.

    J'entends dire qu'une femme a vendu son bébé aux enchères sur Internet.

    J'entends parler d'escroquerie aux fausses déclarations de grossesse.

    Je vois que mon compteur est devenu fou : bientôt 20000 visiteurs (sont perdus ou quoi?).

    Et je suis désormais sure qu'on ne peut pas remplacer le lait par du coca dans le banania.

    Ajoutez à ça une épaule presque déboîtée (p***** de porte du cabinet toujours entr'ouverte qu'on peut généralement ouvrir en se jetant de profil dessus et qui était fermée à clé hier à mon retour d'audience...), vous aurez une idée de ma très grande forme du jour.

    Que votre journée s'annonce meilleure que la mienne!





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  • Enfin, Roland Garros a réouvert ses portes!

    Non pas que je sois fan de tennis (ça manque de mêlée), mais bien que ce tournoi apporte généralement l'été et la nonchalance heureuse qui va avec.

    Que l'époque soit à la révision du bac, des partiels, aux dernières audiences avant vacances judiciaires ou autre coup de speed, c'est toujours dans la joie que je m'y mets.

    Parce qu'il commence à faire réellement beau.

    Parce qu'on peut songer à s'habiller plus légèrement.

    Parce qu'on se dit qu'on a bien mérité un rafraîchissement en terrasse.

    Et parce que c'est trop bon de perdre deux heures à regarder un match qui finalement n'a pas vraiment d'intérêt, hormis celui de l'école buissonnière : on sait qu'on a autre chose à faire...

    Youpi !




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  • A ma décharge, vous devrez admettre que je ne vous ai pas parlé depuis longtemps de mon fric.

    Ou plutôt de mon absence de fric.

    C'est que c'est en passe de s'améliorer.

    Momentanément seulement toutefois.

    J'ai en effet trouvé une solution pour 2005.

     

    Fin janvier, alors que je me trouvais une nième fois face au choix cornélien de payer mon tiers provisionnel, mon URSSAF, ma régularisation sécurité sociale, mon assurance responsabilité civile, ma cotisation ordinale et j'en oublie, et plonger dans un découvert abyssal, ou ne rien payer et m'assurer des ennuis à n'en plus finir mais conserver un solde débiteur de 3000 euros sur mon compte, auquel mon banquier et moi sommes habitués depuis longtemps, j'ai déclaré forfait.

    Et j'ai réfléchi : comment faire baisser ma charge d'imposition ?

     

    Cinq solutions me sont apparues.

    Logiques.

     

    Tout d'abord, puisque les cotisations sont assises sur les revenus, il me suffisait de diminuer les derniers pour faire baisser les premiers.

    Ça, je l'avais compris depuis longtemps.

    Tout compte (bien) fait, j'avais compris qu'en gagnant 5000 euros de moins en 2004 par rapport à 2003, il me restait finalement 2000 euros de plus en 2005.

    J'avais donc entrepris dès la fin de l'année dernière de passer à la tranche inférieure.

    Mission accomplie.

     

    Ensuite, puisque je n'ai jamais l'argent qu'on me demande et que je creuse mon découvert pour payer, j'ai conclu que rembourser un emprunt me saignerait moins que de payer des agios.

    L'argent coûte moins cher quand on l'achète en gros.

    J'ai donc emprunté pour voir venir.

    Et ça va mieux.

     

    Toujours dans cet esprit de rationaliser les décaissements, je suis passée à la mensualisation, pour toutes mes cotisations.

    Je paie souvent, mais peu à la fois.

    Un art de vivre : se faire mettre souvent, mais moins violemment...

    Ça me plaît, finalement.

     

    Puis j'ai vu que je pouvais encore améliorer le système : une fois les revenus et les cotisations diminués, il me fallait trouver des exonérations.

    C'était surtout là que le bât blessait : je fais partie de la classe des cons, de ceux dont le (plein) tarif sert de référentiel pour calculer les réductions des autres, de ceux qui paient encore et toujours plus pour les autres, par solidarité, qui paient tout plein pot, et n'ont jamais droit à aucune aide au prétexte qu'ils gagnent trop.

    Sauf qu'une fois payé pour les autres, il me reste moins qu'eux. Sans aucune aide.

    Le tout était de passer dans l'autre catégorie.

    D'avoir droit aux allocations.

    Succès mitigé, mais petit à petit, j'y arrive.

    Et savez-vous comment ?

    Tout simplement en passant à la dernière étape.

     

    Car en dernier lieu, il m'est apparu que le bon moyen de payer moins est de justifier d'une charge qui exonère partiellement des autres.

    Prenez l'impôt sur le revenu : qu'est-ce qui différencie un jeune couple CSP+ nullipare d'un jeune couple CSP+ avec enfant ?

    Le quotient familial, oui, oui...

    Je travaille donc à modifier mon quotient familial.

     

    Et comme j'ai oublié d'être conne et que je sais que finalement un gamin coûte plus que la réduction d'impôt qu'il permet, j'ai compris qu'il fallait enfanter en fin d'année, de façon à profiter de ce nouveau quotient sans avoir encore souffert du prix des couches.

     

    Evidemment, ce tour de passe-passe n'est valable que l'année de naissance.

     

    Mais je ne désespère pas de maîtriser assez les réductions d'impôts pour garde d'enfants et autres l'année prochaine pour réitérer l'exploit.

     

    Bref.

    Tout ça pour vous dire que l'on vous ment : je ne suis plus cette fille aux longues jambes et au poids sans problème que l'on dépeint parfois.

    Je suis la troisième de ce post :

    http://www.blogg.org/blog-7525-date-2005-03-18-billet-121218.html

    Et c'est pour novembre.

    Un garçon.

     

     

     


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